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Randonue balisage entre St Antonin et Roquesteron
- Le 28/08/2016
- Dans Balisage nu
Mardi 23 août 2016
Balisage du GR 510 Saint Antonin – Roquesteron
Randonneur et naturiste depuis plusieurs années je faisais des randonnées nu à titre individuel. Désirant rejoindre un club ou une association dans le but de découvrir de nouvelles balades, j’ai été séduit à la lecture des articles du site ‘Les Randonneurs Nus de Provence’. La richesse de l’information, la diversité, et la qualité des différents sujets traités en font une mine remarquable de connaissances, le tout abordé dans un ton chaleureux.
Ayant pris contact avec Jean-Paul, je fus invité à participer à une randonnée ‘balisage’ entre Saint Antonin et Roquesteron dans le but de découvrir l’Association.
Je ne m’étais jamais vraiment renseigné sur ‘qui’ entretenait le balisage des sentiers GR ?
J’avais l’idée des collectivités locales ou Eaux et Forêts. J’ai appris que ce n’était pas tout à fait organisé comme cela : l’entretien était délégué à des personnes ‘expertes’ indépendantes, mais prenant en charge un périmètre parfois très étendu. Plusieurs équipes de bénévoles dont la majorité a suivi une formation de ‘baliseur’ assurent au titre du balisage associatif le petit entretien, la veille technique d’un parc de sentier sous l’égide du Comité Départemental.
Le ‘balisage’ est donc une opération de maintenance visant le toilettage périodique d’un itinéraire et du balisage et de ses équipements. (Élagage, débroussaillage des bas-côtés, rafraichissement de la peinture sur les balises et la signalétique, …)
Par une magnifique journée, j’ai connu Jean-Paul et Georges au rendez-vous de Coursegoules, puis direction en voiture vers Roquesteron où nous attendait Pierre, afin de rejoindre Saint Antonin et récupérer Jean-François.
Prise de contact sympathique et positive, chacun prend en charge les ‘outils du baliseur’ : pinceaux et pots de peinture blanc et rouge, pochoirs des différents pictogrammes, sécateurs petits et grands, une ‘plane’ (ou couteau à deux manches : outil pour le travail du bois composée d'une lame semblable à celle d'un couteau, munie de deux poignées, à chaque extrémité de la lame. Elle permet le dégrossissage et le creusage de formes courbes, galbées et même droites. On s'en sert essentiellement pour enlever l'écorce d'un arbre que l'on veut travailler. On manie la plane en la tirant vers soi) scie, et appareil photo GSP afin d’identifier et localiser les détériorations du sentier plus lourdes (éboulements, gros rochers, arbres tombés, …)
Nous voilà partis pour l’opération ‘balisage’. Je comprends la nécessité de la tâche et l’entretien des précieuses balises pour les futurs randonneurs. La randonnée se passe sans encombre, silence et beauté des lieux, odeur de pins, ponctuée par l’arrêt à chaque balise de sa remise en état. Sentier peu fréquenté ce qui nous a permis de nous dévêtir tout au long du parcours, sauf traversée du petit village Cuébris, mais lui aussi désert.
J’ai été bien sûr conquis et enthousiasmé par l’Association de Jean-Paul, par la sympathie et gentillesse de Georges, Pierre et Jean-François, la bonne humeur du groupe, le tout enrichi par de nouvelles connaissances sur les ‘baliseurs’.
J’ai hâte de renouveler l’expérience dans de prochaines randonnées.
Thierry.
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Randonue sportive à la cime de Partissuollo
- Le 16/08/2016
- Dans Randonue
Dimanche 14 août, randonue à la cime de Partissuollo.
Lors de la dernière randonue nous avons pensés que l’on pourrait faire une randonue au-dessus de Roquebilière. En cherchant sur la carte j’ai trouvé un parcours sportif en partant de Venanson pour la cime de Partisuollo. Passé le village de Venanson il n’y a plus personne et pas une seule voiture au départ du sentier, C'est la première fois que l'on peut partir et revenir aux voitures dans notre tenue favorite, complétement nu, sans que personne ne nous voie.
Le sentier est bien tracé mais la pente est très raide 25% en moyenne sur 3.3km, avec quelques passages délicats avant la Baisse de la Combe (sujets au vertige s’abstenir).
Nous ne verrons personne jusqu’au sommet. La vue est magnifique du Mercantour à la chaine du Cheiron et la Méditerranée.
Au moment de redescendre j’aperçois un homme qui monte vite, je vais au-devant de lui habillé de mon paréo pour l’avertir et lui demander si le reste du groupe peut rester nu. Pas de problème ça ne le gêne pas. Nous ne sommes pas arrivés à la Baisse qu’on le voit redescendre à fond de train.
Nous redescendons par le même sentier, Dominique et moi-même avons enfilé des genouillères en prévision, qui se révèle très efficace dans cette pente importante.
Arrivés presque aux voitures nous voyons un couple monter sur le sentier, nous enfilons nous paréos et nos shorts mais c’était inutile en discutant avec eux nous aurions pu rester nus.
Nous avons passé une journée magnifique. Mais attention le sentier est vraiment raide sans aucun endroit pour relâcher son effort. A faire que par des personnes entrainées.
JP
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Randonue pour les 20ans du Col de la Sinne
- Le 31/07/2016
- Dans Randonue
Samedi 30 juillet. Nous sommes invités et attendus à la fête organisée par les deux villages Pierlas et Ilonse pour les 20ans du col de la Sinne.
Nous sommes à longtemps naturists Anglais avec une maison de vacances dans le Sud de la France et on nous a présenté Randonneurs Nus de Provence par une amie française. Nous avons rejoint le promenade de Pierlas au Col de La Sinne. Nous avions jamais jugé possible de la randonnée nue dans les Alpes Maritimes et la marche à travers la belle campagne en bonne compagnie a été une expérience merveilleuse et libératrice ... si bon, en fait, que nous sommes revenus la semaine suivante avec un de nos amies pour grimper Cime Clapirette. A 2500m ce fut un peu plus physique et froid dans le vent, mais nous avons eu un autre grand jour. Un grand merci JP.
D&J
Le départ de Pierlas. Nous sommes encore en short mais nous ne le resterons pas très longtemps.
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Après avoir passé les jardins nous voici dans notre tenue favorite.
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Passage sur l'autre rive du ruisseau ou la fraicheur nous attend.
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Tout le reste de la montée jusqu'au col sera sur le versant nord en sous bois.
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Nous arrivons juste pour l'apéro. Nous discutons avec un monsieur et je lui demande ou est Gilbert l'organisateur de cette fête, il me répond mais c’est mon cousin je vais vous le chercher.
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Ce monsieur s'appelle Pierlas et devinez c’est le cousin aussi !
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Le retour par le même chemin et la même tenue.
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Une bonne petite baignade dans une eau à 15 deg nous fait le plus grand bien avant de regager les voitures.
JP
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Randonue de Briançonnet à Gars
- Le 28/07/2016
- Dans Randonue
Randonue Briançonnet-Gars
26 juillet 2016
A 10h, nous voilà prêts pour entamer la randonue. Colette est là aussi. Les Colette que je connais ne sont pas de grande taille mais sont « speed » comme il faudrait dire de nos jours. Pour la taille, c’est bon ! Pour le « speed » aussi puisqu’elle sera toute la journée dans le groupe de tête. Pour ceux qui ont tendance à mener un train de sénateur, la rencontre d’une personne du cru nous rassure en nous informant que le chemin descend tout le long jusqu’à Gars. C’est sans compter sur la perspicacité de Jean-Paul qui a prévu un autre parcours. Effectivement nous ne prenons pas la direction indiquée par cette personne.
Quelques mètres, nous voilà en tenue de peau sur le chemin qui a été nettoyé récemment et nous conduit à un ruisseau que nous traversons sur un solide pont reconstruit pour durer. La montée s’agrémente de passages faciles et d’autres qui relèvent plus du crapahutage que de la marche, ce qui en fait l’intérêt. Nous arrivons au point culminant vers midi après une montée à travers bois ombragée. C’est l’heure d’une bonne collation. C’est là aussi que pour les Colette, ça se vérifie puisque le groupe de tête était là depuis ¾ d’heure.
La descente vers gars va pouvoir commencer. Des passages faciles, un mounta-cala permanent et des crapahutages mais en descente. L’objectif était une baignade dans l’Estéron. Tout espoir est permis car nous les sénateurs nous l’entendons se rapprocher lentement mais sûrement. Mais tout-à-coup plus rien, seulement le tonnerre au loin ! Gars aussi s’approche et disparait ! Bizarre, mais nous avons dû entamer un détour ! Enfin à travers bois nous entendons à nouveau notre guide auditif. Georges, muni de la technique moderne de repérage qui se bat de temps en temps avec elle nous annonce l’arrivée à 700m. C’est très encourageant pour des sénatrices et sénateurs. L’heure passe, l’orage menace, à l’arrivée des gouttes de pluie nous attendent, le temps de rejoindre le centre de Gars apprécier la bonne eau fraîche de la fontaine, admirer les cascades jumelles qui jouxtent la fontaine et le lavoir où nous nous mettons à l’abri quand l’orage éclate. Pas de baignade, retrouvailles avec les marcheurs de tête et organisation du retour vers les voitures.
Une belle journée pour les « speed » et les sénateurs qui sont partis à points et n’ont pas eu à courir, sur un parcours bien ombragé et varié, dans une bonne ambiance en tenue de peau du début à la fin !
Yves
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Randonue au Lacs Barrat
- Le 17/07/2016
- Dans Randonue
Jeudi 14 juillet, nous partons au début de la route qui mène au petit lieu-dit : Le Chastel. Passé la dernière maison du lieu-dit nous pouvons nous mettre nu. Ma femme et moi-même n'étant pas très en forme nous laissons Georges, Dominique, Michel et Daniel partir devant pour ne pas les retarder.
La montée dans les arbres est très agréable. Comme nous somme les derniers nous sommes rattrapés par deux coureurs un peu avant les deux maisons non habités de Calandre. J’ai pu passer mon paréo avant qu’il nous ai vus. Des personnes très sympathiques. Les quatre premiers ne les verront pas, je pense qu’ils ont dû retourner vers la Colmiane à la hauteur des maisons. Nous ne verrons plus personnes de toute la journée. Pas tout à fait, sur le retour et proche des voitures vers 16h30 nous croisons un couple avec un seul sac à dos qui nous demande leur chemin pour faire à peu près la même chose que nous. Le temps commence à être menaçant et je leur demande s’ils ont des K-way ; non qu’ils me répondent. Faire une randonnée dans le Mercantour en fin d’après-midi sans k-Way et sans carte je trouve ça irresponsable.
Nous arrivons aux vacheries ou Daniel nous attend, trop fatigué pour suivre les autres. Nous nous installons près d’un groupe de vache pour prendre notre repas. Pendant ce temps nous voyons l’autre groupe passer la croupe juste avant le premier lac.
Pour ressortir dans l’autre vallon à droite des vacheries.
JP Guido
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Randonue aux lacs des Millefonts
- Le 05/07/2016
- Dans Randonue
Samedi 2 juillet, Randonue aux lacs des Millefonts.
J'avais prévu de faire une boucle dans le sens des aiguilles d’une montre :
Départ du parking, montée par les lacs de Millefonts ; Lac Rond, lac Long, Lac Gros, Col du barn, Mont Pépoiri, Lac d’en Veillos et retour au parking.
Mais sur place il y a énormément de monde qui montent par le même chemin, pour pouvoir se mettre nu on décide de faire la boucle dans l’autre sens. Nous allons rencontrer un petit groupe de marcheur dont un monsieur à fait un malaise vagal sans gravité et un seul marcheur qui descendait du Lacs d’en Veillos. Sur la crête un cycliste et un peu de monde au sommet. Le retour sous la pluie et un peu de grêle par les lacs.
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Périple à Vélo Côte d'Azur - Grenoble
- Le 02/06/2016
un petit compte rendu de mon périple vélo Côte d'Azur - Grenoble.
Arrivé à Antibes le 24/04 j'ai été accueilli à la gare par l'organisateur de la randonnée. Ne pouvant m'héberger et ayant raté le mail de Nadia de quelques heures, celui-ci m'a conduit à un hôtel derrière la gare (80€, tarif le plus élevé de mon périple).
Le lundi je me suis lancé vers Cagnes et le col de Vence. Je suis passé près de Coursegoules un peu avant 10h, c'est pourquoi je ne suis pas arrêté pour un apéro nu, c'était un peu tôt et je ne savais pas ce qui m'attendait plus loin. Arrivé vers 13h30 à Briançonnet, il était aussi un peu tôt pour m'arrêter d'autant que le Haut Chandelalar était désert (Muriel absente la journée et vu personne pour me raisonner). J'ai poursuivi vers Annot et son gîte (18€ la nuit). Le lendemain je me suis attaqué au Col de la Colle St Michel, suivi du Col d'Allos ouvert depuis la veille, le Col St Jean et le Col Lebraut avant de "filer" vers Gap. ou je suis arrivé vers 20h. Le mercredi, Col de Manse, Col Bayard, Col du Noyer, Col de Cabre et arrivée à Die où il ne fut pas simple de me loger... Enfin le Jeudi, Col de Rousset et arrivée dans le Vercors et sa succession de cols pour terminer par le Col de Romeyère et redescendre jusqu'à Grenoble
En résumé, programme sportif accompli, peu de rencontres, rdv raté à Antibes, trop tôt du côté de Coursegoules, etc...
peux mieux faire dès l'année prochaine lorsque je reviendrai sur les contreforts de la Côte d'Azur ou j'espère cette fois rencontrer Nadia (si ça arrange tout le monde) et Jean-Paul (si ça peut se faire également).
Merci de toutes façons à tous les deux même même si on ne s'est "vu" que par mail.
Bonne journée
La Guepe -
Randonue-Balisage Les Tardons-Gréolières-les-Neiges
- Le 28/05/2016
- Dans Balisage nu
Mardi 24 mai
Il fait très beau en arrivant aux « Tardons ». D’où vient ce nom d’un hameau de la commune Le Mas ? Sur son site, l’explication par l’occitan est simple : les brebis ont normalement une portée par an, exceptionnellement deux. A la seconde, on disait « Tardonean ! » et on appelait les agneaux : les « tardons ». Autre surprise : le sentier traverse la Gironde. Un seul point commun avec l’autre : l’eau. Ce n’est pas la rencontre de deux grands fleuves, mais une petite rivière au parcours sinueux qui se jette dans l’Estéron dont le lit offre lui aussi de bien beaux paysages avec de belles vasques. La Gironde aussi mais plus petites. L’origine occitane de ce nom évoque le verbe tourner. Ferait-elle de nombreux tours et détours ? A vérifier sur la carte ! Voilà pour la toponymie !
La première surprise c’est un marcassin qui nous a rendu visite. Surpris lui aussi tout autant que nous, téméraire sans doute, il a poursuivi son chemin. C’eût été une autre histoire s’il avait été accompagné de sa mère. Enfin deux serpents, des couleuvres sans doute, un long et un non, dérangés dans leur bain de soleil et qui détalent à toute vitesse. Allez remarquer dans ces conditions les détails caractéristiques de la tête ! Voilà pour la zoologie !
Ce GR traverse des « faisses » planches, restanques à l’abandon avec des murs toujours debout malgré une nature envahissante et beaucoup d’arbres qui n’ont pas réussi à les faire s’ébouler.
L’homme a ainsi laissé son empreinte. Un chemin qui mérite d’être parcouru à bien des égards en profitant d’une belle journée ensoleillée comme ce fut le cas et qui peut se terminer par une bonne bière corse aux châtaignes dans un bistrot très sympathique de nos villages de montagne.
Yves
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Deux jours de randonues vers Beuil
- Le 07/05/2016
- Dans Randonue
Il y a un mois J’avais prévu de faire un séjour de quatre jours de randonues au Domaine de la Pierre à Beuil. Je n’ai reçu aucune réponse positive. Je me suis aperçu en recherchant sur internet que plusieurs personnes de notre association c’étaient inscrites à la rencontre organisée à la Sablière.
Je ne leur demande pas des comptes mais j’aurais aimé le savoir autrement, un petit mail m’aurait évité de prévoir ce séjour et de faire des réservations que j’ai dû annuler.
Je me suis dit mais pourquoi pas le faire avec ma femme sur deux jours. J’ai donc réservé le studio du gîte et j’ai programmé deux jours de randonues pour en faire profiter les adhérents du club.
Jeudi 5 mai nous sommes quatre au départ du lieu-dit le Cougne. Ma femme n’étant pas très entrainée, je propose à Michel et Georges de partir devant pour atteindre la barre des Moulines. Moi pendant ce temps j’accompagne ma femme jusqu’au gite puis j’irai les rejoindre. Dans la montée nous croisons une dame mais je n’ai pas le temps de passer un paréo. Elle nous dit bonjour avec un grand sourire. (Georges et Michel l’on rencontré avant nous et leur a dit qu’elle s’en remettrait).
Arrivé à la piste qui mène au gite je quitte ma femme pour rejoindre Georges et Michel. Pour éviter de faire un grand tour par la Colle je trace dans le pentu pour rejoindre la crête où passe le sentier. Il y a une sente surement faite par les troupeaux. C’est raide même en suivant la sente la pente est de 30%, j’atteins le sentier en 20 petites minutes.
Sous la barre je ne vois pas arriver un coureur, là non plus je n’ai pas le temps de me couvrir tout juste le temps de me mettre sur le côté pour le laisser passer sans lui faire perdre son élan.
Je rejoins Michel et Georges juste sous le dernier raidillon avant la barre. Entre temps le ciel s’est couvert et un mauvais vent qui vient du Mercantour nous oblige à nous couvrir et à trouver un endroit à l’abri pour pouvoir manger.
L’après-midi nous rejoignions le gite pour boire un verre puis Michel et Georges nous quittent pour rejoindre leur voiture.
Le soir avant le diner, Dominique le responsable du gite, nous sert l’apéro fait maison. Puis Blanquette de veau avec des pattes fraiches, un vrai régal. Plateau de fromage Chèvre, Tome et Conté.
Au petit matin c’est le soleil qui nous accueille et entre par la porte du gite.
Vers 9h nous partons ma femme et moi du gite en direction de la cime de Bacoun en passant par le vallon Tartaus pour rejoindre la piste.
Nous ne verrons que quelques randonneurs mais toujours de très loin.
Nous avions prévu d’aller en direction du col de Moulines puis de redescendre par le sentier balisé qui longe le Cians. Mais le sentier qui part de la cime de Bacoun vers le col est en très mauvaise état, nous avons donc fait demi-tour pour descendre par le vallon de l’Isclas.
C’est un ancien sentier balisé mais qui n’est plus tracé en rouge sur la carte ; on peut le deviner par des petit trais pointillés noir. Il permet de rejoindre le sentier qui passe sur la crête du Pré Picas que nous avons pris en montant. J’ai dû sortir mon sécateur pour pouvoir passer plus facilement.
J’ai pu rester nu pratiquement toute la journée sauf la première ½ heure à cause du vent et de la fraicheur de la nuit.
JP