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  • Raquett'nue au nord du Baou de St Jeannet

    Raquettnue au Nord du Baou de St Jeannet du 28/02/2013.
    Le rendez-vous était donné aux Combes (Bezaudun) à 9 h 30. Nous nous sommes donc tous retrouvés comme convenu à 9h30, tous...  nous n'étions que 4:  Jean Paul, Daniel, Barbara et moi Catherine, une amie de Barbara, plus le petit chien Titou qu'il ne faut surtout pas oublier !
    Le soleil au départ nous attendait, nous mettons les raquettes et au fur et à mesure que nous avançons dans la montagne enneigée, et nous commençons à avoir chaud. Jean-Paul et Daniel se mettent nus, mais pour nous les femmes c'est encore un peu frisquet!  Bon, il n'y a pas trop de dénivelé, c'est très agréable et pas trop dur.   Avec tous ces paysages enneigés le spectacle est magnifique.

    Sur le coté du chemin nous passons près d'une borie, en très bon état.  Nous profitons pleinement du paysage et d'un bon air pur bien vivifiant, nous bavardons tous ensemble, avec Titou qui se met toujours dans nos pieds...

    C'est pour moi la première expérience de rando-nue.  J'ai l'habitude de faire des bronzettes nue sur ma terrasse ou au bord de la piscine de Daniel et Barbara, mais je n'avais jamais eu l'occasion de faire une rando-nue en groupe.  Le naturel et la simplicité de nos amis m'ont rapidement mise à l'aise.  Mais la température un peu fraîche à mon goût ne m'a pas incitée à me dévêtir aujourd'hui, mais ce n'est que partie remise et dès que la saison chaude sera installée, j'espère pouvoir participer pleinement et naturellement à ces randos-nue.

    Un peu plus loin, nous devons enlever les raquettes car en arrivant sur le plateau nord de St Jeannet il y a un peu moins de neige et c'est bien plus facile de marcher sans les raquettes.... N'est ce pas Barbara?  Nous croisons un promeneur et son chien.  Il parait quelque peu surpris de voir les hommes de notre petit groupe en tenue d'Eve (ou plutôt d'Adam...) par ces températures encore hivernales.  Daniel lui explique que quand on marche entièrement nu, la transpiration se fait plus facilement et que l'autorégulation du corps est beaucoup plus efficace, sans parler des sensations agréables du soleil et du vent sur la peau.  Une fois ressenti, c'est adopté définitivement!  


                  Midi arrive, et nous  retrouvons Pasqualine et ses 2 charmants enfants au dessus de la bergerie du Jas Jausserand.  Elle a fait avec ses enfants, petits pourtant, la rando inverse en partant de St Jeannet.  Bravo pour les deux gamins, qui sont déjà de bons marcheurs.  Malheureusement un gros nuage arrive et fait chuter la température;  nous cassons la croute tous ensemble avec même un petit copain pour Titou, Cookies, le chien de Pasqualine.  Nous avons une très belle vue sur les collines environnantes, Nous apercevons un randonneur seul, un joggeur qui partait vers St Jeannet.  Nous nous sommes assis à l'abri du vent, le soleil nous a fait juste une petite apparition, mais bien timide et il ne fait vraiment pas très chaud.  Jean-Paul s'est rhabillé entièrement, c'est dire!  Après le café et les biscuits, malheureusement un tout petit rayon de soleil n'arrive pas à nous réchauffer, et nous décidons de prendre le chemin du retour d'un bon pas.  En milieu de parcours nous rencontrons un autre groupe de randonneurs qui venait de Carros, et nous avons bavardé un peu.  Bien sûr leur accompagnateur connaissait Jean-Paul et il leur a fallu interrompre leurs discussions car ils avaient encore un bon bout de chemin à faire.  Le soleil est venu à nouveau  nous faire un coucou, et tranquillement nous sommes arrivés aux voitures. Titou était épuisé,!!!!

     

    C'était une belle ballade, agréable et bien sympathique.  Vivement le printemps et le soleil chaud!
     

    Catherine.                              

  • Raquett'nue au Pensier

    Ce dimanche j'avais prévu de monter au Teillon, arrivé sur place le manque de neige au départ nous fait changer d'avis. Nous retournons vers St Auban pour faire le Pensier.

     

  • Raquett'Nue au sud de la montagne de l'Audibergue

    Comme convenu vers 9:30 h nous retrouvons Jean-Paul à Coursegoules et nous continuons en voiture jusqu'au point de départ de notre raquett'nue.  Nous ne sommes malheureusement que trois pour cette rando malgré un temps magnifique. Après quelques lacets, très rapidement les muscles s'échauffent, Jean-Paul et Daniel se mettent nus, je ne me mets à l'aise qu'un peu plus tard car je suis assez frileuse.  La neige, un peu rare au début, se fait plus épaisse et le soleil sur la peau est très agréable.  Jean-Paul met ses raquettes, mais Daniel et moi préférons marcher dans ses traces. Nous progressons tranquillement au pied de la face Sud de l'Audibergue.  Notre petit chien Titou trottine toujours sur les talons du premier de rando.  Sur la neige nous apercevons de temps en temps les traces fraîches d'un bouquetin. Vers midi, une fois arrivés sur le plateau, nous nous arrêtons pour déjeuner et admirer le paysage.  A travers quelques nuages nous apercevons les îles d'Hyères.  Le spectacle est magnifique et le soleil est au rendez-vous pour encore quelque temps.  Nous revenons sur nos pas et traversons à nouveau quelques passages d'éboulis et des bosquets de pins. À petit, le temps se rafraîchit, la descente se fait plus rapide, nous nous  rhabillons progressivement et vers 15 heures, nous voici arrivés à notre point de départ. Un grand merci à Jean-Paul, quel bonheur d'avoir pu profiter d'un temps splendide et d'un paysage magnifique. 

    A bientôt pour une prochaine raquett'nue!

    Barbara, Daniel et Titou

     

  • Raquett'nue vers l'Audibergue

    Quelle belle journée pour ce premier dimanche de décembre où j'effectuais une randonue,non plus seul, mais en tant que nouvel adhérent et accompagné du président de l'association Jean-Paul Guido.

    Le début de cette journée fût un peu laborieux car il y avait le rallye du soleil, ce qui a eu pour conséquence de bloquer un certain nombre de route, dont la D3 qui traverse Gourdon, je fût alors contraint de faire demi-tour et de redescendre direction Pont-du-Loup : il y avait bien un panneau indiqué à Chateauneuf, mais il devait être temporairement caché lors de mon passage, la consultation du site internet de Gourdon, m'aurait évité ce trajet inutile. Après être arrivé avec 20/25 minutes de retard, je rejoins enfin Jean-Paul au petit parking de la Faïsse situé à l'entrée du village de Gréolières. Jean-Paul s'est chargé du choix de l'itinéraire sa connaissance du coin étant plus étendue que la mienne.

    Après avoir cherché brièvement un lieu de randonue, nous nous sommes arrêtés près d'Andon au Pont du Loup situé au croisement de la D2 et dela D5. Au bout de quelques minutes de marche, nous voiçi en tenue d'Adam. Malgré la présence du GPS, nous avons assez vite perdu le bon sentier (neige oblige) et sommes alors retrouvés à faire notre propre tracé, avec un certain succès je dois dire. Ce fût peu physique et court mais assez continu dans l'ensemble, avec au final une vue superbe sur tous les sommets avoisinants, un magnifique panoramique sur 360°.
    La présence de rafales de vent, parfois froides, oblige à ne pas faire du surplace, la chair de poule faisant rapidement son apparition. Nous sommes alors redescendu à la recherche d'un coin abrité pour la pause casse-croûte. Le retour s'est simplement effectué sur nos traces faites à l'allée, d'ailleurs sur la fin nous avons pu rejoindre le sentier original. Et comme toutes les bonnes choses ont une fin :
    les habits ont repris une place forcée sur nos épidermes et la D79 nous ramena à Gréolières. Malgré l'oublie de mes raquettes et de mes guêtres, la progression s'est faite sans encombre sur une neige d'une vingtaine de centimètres en moyenne et assez poudreuse dans l'ensemble.
    Habitué à pratiquer la randonue seul, j'ai fort apprécié de partager cette journée. J'aurai bien du mal maintenant à repratiquer seul, même si cela se fera, simplement, j'essayerai alors d'être accompagné le plus souvent possible.
    Philippe.
     

  • Raquett'nue au plan du Peyron

    J’étais parti pour faire une raquett’nue au départ du chalet de ski de fond à Gréolières les neiges et suivre le GR4 dans son tracé d’hiver. En montant à la station par la clue de Gréolières j’aperçois la balise 205 du PR. Ca fait longtemps que je veux faire une reconnaissance par ici, il n’y a personne j’en profite. Au départ le sentier n’est pas très en neigé, je porte donc les raquettes sur le sac. Mais dès que j’arrive sur le plateau c’est un régal, il y a du soleil et la température est idéale pour ce mettre nu.  Je suis la piste que je distingue à peine vers l’est cette partie-là est à l’ombre mais je n’ai pas froid. Je sais que la piste s’arrête à l’intersection de deux vallons, je veux voir s’il est possible de continuer pour rejoindre la station de ski. Après la piste je me retrouve sur un sentier mais avec la neige il devient de plus en plus difficile d’avancer même en jouant du sécateur. J’abandonne sur ce versant et je reviens sur mes pas pour essayer le versant sud, c’est pire il y a des buis partout et j’ai vite fait de ne plus pouvoir avancer. Je reviens donc vers l’Aven du Dégoutaï. Je pensais être seul dans ce lieu perdu et bien non il y a des traces de ski de fond. Je m’arrête vers midi pas très loin de l’Aven pour manger un morceau. Le soleil se cache dérrière les nuages et je suis obligé de me couvrir un peu. Un couple de randonneurs passe sur le sentier et me font signe de la main pour me dire bonjour. Mais comme ils ne sont pas sûrs du sentier qu’ils ont emprunté, l’homme vient se renseigner auprès de moi. Je ne suis pas très habillé et je leur explique que je suis le président des Randonneurs Nus de Provence. Ils repartent donc vers le plan du Peyron pour continuer leur balade. Après avoir fini de manger le temps s'est couvert encore plus et je ne peux plus rester nu. Je décide d’aller voir vers la combe de Méro s’il y a une possibilité pour passer. Je retrouve le couple en train de manger tout près du terrain d’aéromodélisme. Je discute un long moment et je repars vers la combe. Le ciel entre temps s’est dégagé et je me remets nu. Au bout de la combe pas moyen de trouver un passage je tourne dans tous les sens jusqu’au moment où je retrouve le couple. Je suis resté nu et nous faisons la route ensemble pour retourner à nos voitures. Nous allons finir la randonnée devant une bière Corse la Pietra au bar le Relais à Gréolières. Je suis ravi d’avoir pu partager avec Michel et Martine ce moment de randonnée entre textiles et naturiste.

    Pour Michel et Martine que j'ai rencontrés aujourd'hui, samedi 1er décembre, lors d'une raquett'nue de reconnaissance vers l’Aven de Degoutaï sur le plan du Peyron. 

     

    JP Guido                      



     

  • Journée au termes de Thorenc

    Ce dimanche nous sommes 22 naturistes, amis, parents et textiles à faire la fête de la convivialité dans une petite randonue-libre et un repas.

    La journée commence par une petite randonue qui nous permet de gravir les 128m du sommet de l'Auspelière, nous sommes 10 hommes, 9 femmes et 3 enfants à l'assaut de cette "montagne". Yoyo ne marchera pas très longtemps et c’est sa maman qui le portera sur son dos presque jusqu’au sommet. Maëlys dont c’est sa première sortie avec nous se fera porter sur le dos de sa maman jusqu’à la fin de la forêt, mais ira au sommet avec Aymeline et Yoyo à pied. La montée est très ombragée et débouche sur un dôme herbeux avec en son point le plus haut un cairn. Nous avons une vue magnifique à 360deg sur toute la région, Thorenc, la crête du col de Bleine, Le Cheiron, l’Audibergue etc…

    Patrick, grand amateur de spéléologie nous indique qu’il y a un aven à 150m de là, nous sommes trois pour le chercher. Après être passé par une végétation très danse de buis et de pins, le GPS nous indique que nous ne sommes pas très loin. Dans notre recherche je passe juste à côté d’une biche qui part d’un bond et me fait sursauter.

    Nous allons mettre une bonne demi-heure pour trouver cet aven grâce au topo qui nous indique qu’il se trouve au bord d’une doline herbeuse. Quelques photos et c’est le retour au sommet où il n’y a plus personne, la faim les a fait redescendre à moins que ce ne sois l’apéro.

    Marc nous fait un petit discours et nous présente les projets qu’il a pour le domaine.

    Le soleil est toujours de la partie quand nous passons à table. Salade en entrée, poulet au Curry, fromage, dessert, café et limoncello pour finir.

    L’après-midi nous repartons pour une nouvelle randonue le long du ruisseau. C’est à cet endroit que nous avons dégagé un sentier pour accéder à une piste qui mène à une petite maison. J’avais bien vu le jour où nous avons travaillés des cabanes, je pensais que c’était des enfants qui les avaient construites, eh bien pas du tout ce sont des chasseurs et nous tombons sur l’un d’eux. Il n’a pas l’air très surpris de nous voir nus, mais il pensait qu’à cet endroit il aurait été tranquille pour chasser. Je lui présente notre association et il me demande où nous allons repasser pour se poster à un endroit plus tranquille pour nous et pour lui.

    Arrivée à la piste nous croisons un 4*4 de chasseurs qui semblent amusés par notre tenue. C’est là que nous faisons demi-tour pour rejoindre le domaine où nous attend un café bien chaud.

    Nous avons passé une journée très agréable avec un accueil très sympathique de l’équipe du domaine.

    JP Guido.               

     

  • Baignade nue à Chaudanne

    Pour une fois nous avons fait une sortie un dimanche au barrage de Chaudanne. Baignade nue le matin et petite randonue l'après midi. Mais les sentiers sont très très peu utilisés.

     

    Une journée magnifique l'eau était à 21 deg un régal.

     
    JP Guido

  • Randonnée Joëlette à St Martin Vésubie

    Ce samedi nous avions rendez-vous à St Martin Vésubie à l'occasion de l'inauguration de la 1ere station de trail des Alpes-Maritimes. La fédération de randonnée était présente pour l'organisation d'une rando pour handicapés et une rando famille. Nous sommes donc trois accompagnateurs brevetés, Maryvonne, Jean-Paul, Jean-Pierre et sa femme Marie qui nous a soutenus moralement.

    La randonnée pour handicapé se fait à l’aide de Joëlette, une invention géniale qui permet d’emmener des handicapés sur les sentiers de randonnées. C’est un siège monté sur une roue centrale avec un pousseur et un tireur. Dans les passages difficiles deux personnes peuvent maintenir l’équilibre de l’ensemble en se plaçant de chaque côté. Dans les pentes très raides une autre personne peut prendre place devant pour soulager les tireur-pousseur.

    Il y a donc deux équipages, le premier avec Ellyn elle est au lycée et aime écouter tout ce que l'on connaît sur la nature et le second équipage sera passée à des ténors de la montagne pour emmener Gilbert Grosso un virtuose de la pédagogie qui a eu un accident vasculaire cérébral, ancien gendarme, ancien guide, ancien formateur.Maryvonne en plein effort dans la partie la plus raide du parcours.

    Un petit moment de repos après le raidillon.

    Un vue magnifique sur le village de St Martin Vésubie depuis le sentier.

     

    Une partie de l'équipe de la fédération de randonnée.

    Françoise notre formatrice en chef.

    Nous avons passé une journée pleine d'émotions. Nous sommes tous impatient de renouveler cette journée de convivialité  et de partage.

    JP Guido  

  • Rando-chocolats au plateau de St Barnabé

    Nous avons participés à la rando-chocolats organisée par la FFRP au plateau de St Barnabé. 

    Comme le plateau de St Barnabé est sur la commune de Coursegoules, c’est à pieds que nous nous sommes rendu à l’entrée du village. Il nous a fallu 1h30 de marche pour nous y rendre. J’avais pour mission de transporter un enfant handicapé avec une Joëlette pour qu’il puisse participer avec les autres enfants à cette rando. Mais le temps froid et très couvert nous a pas permis de faire le parcours prévu. C’est donc Nathalie et son ami qui ont conduit de mains de maitre la Joëlette, aidé par moi et deux autres personnes dans les endroits difficiles et un peu raides.

    Audrey à fait découvrir les fleurs du plateau, pas très nombreuses en cette saison, aux enfants.

    Une journée merveilleuse avec le sourire des enfants pour soleil.

    JP Guido

     

  • Raquett'nue au Teillon

    Le soleil, en ce samedi 25 février 2012, nous invite à une raquett'nue sur la commune de Soleilhas.

    Nous sommes quatre à profiter du beau temps et de la neige tombée il y a quelques semaines et que nous espérons encore accueillante pour nos raquettes …  mais celle-ci s'avère avoir fondu et ne nous facilite pas la progression.            

    L'assaut du Teillon est relativement difficile, semé d'embuches : bruyères et rochers sont dissimulés sous une neige trop fine pour gommer les aspérités et les pièges sont nombreux. Quelques chutes sans gravité dans la neige froide rappellent que le soleil pourtant ardent ne brille encore qu'en hiver...

    Le cheminement à travers les arbres et arbustes est épuisant, la pente est raide, la piste invisible, mais quel merveilleux paysage, quel calme, quelle sérénité ! Cela vaut bien les efforts consentis.
    Pause déjeuné devant une accueillante bergerie et ses chaises, qui nous permettent un repas confortable devant un panorama magnifique. Le soleil est toujours là, et la chaleur nous étonne : on n’aurait pas plus chaud au printemps ou certains jours d'été !     


    Nous décidons de redescendre par une boucle sur le versant nord, toujours en surplomb de Soleilhas. La neige est de meilleure qualité, mais il nous faut encore nous frayer le passage entre la végétation, jusqu'à retrouver la piste confortable et terminer notre randonnée nue sur le plateau pour ne nous rhabiller qu’aux voitures.

    Cette superbe journée se termine autour d'un pot à l'auberge du village où Les Randonneurs Nus de Provence ont séjourné l'année dernière.

    Merci à Jean-Paul pour cette belle rando.

    Christophe