Articles de lesrandonneursnusdeprovence
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Randonue à Robion
- Par Jean-Paul Guido
- Le 01/06/2014
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Samedi 31 mai, randonue vers Robion et la Chapelle St Trophime.
Départ de la randonue sous un soleil magnifique !
L'intérieur de la Chapelle St Thyrs.
Départ pour la Chapelle St Trophime sous la pluie !
L'intérieur de la Chapelle St Trophime.
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Randonue libre sur le plateau de Calern
- Par Jean-Paul Guido
- Le 12/05/2014
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Jeudi 8 mai, Randonue sur le Plateau de Calern.
Ce plateau caussolien réserve des surprises dès l’arrivée avec plusieurs mini observatoires, une architecture inspirée d’un laboratoire de science dominant des dômes, un bâtiment futuriste et une bâtisse plus ancienne. Impressionnant le calme et le silence hormis le souffle du vent frais, l’imagination peut commencer à vagabonder.
Nous nous mettons en route pour la chapelle, là-bas où il y a une croix blanche. Des yeux on cherche la croix et la chapelle. Au passage, des orchis aux couleurs plus ou moins prononcées, du thym dont le parfum ne nous quittera pas de la journée, du serpolet et de la lavande, également dans un enclos naturel couvert d’herbe, un cercle d’herbe plus foncé puis un disque aux ¾, plus grand, idem. Curieux, non ? Résultat de l’atterrissage d’un Ovni, d’une météorite ou tout simplement la composition de la terre à cet emplacement. Imagination !!!
Enfin la croix , mais elle est à flanc de rocher ! La chapelle est dans une grotte, on y accède par un large couloir en baissant la tête. Elle est aménagée et est éclairée par une lucarne naturelle entre les rochers. Ce rayon de lumière dans cette « baume » au bout de ce couloir donnerait envie de dire merci à Un Dieu de quelque confession que l’on soit, sinon à Dame Nature. Difficile de quitter ce lieu, mais d’autres surprises nous attendent.
Les bories, témoignages de la vie pastorale dont une placée dans un coin d’un enclos auquel on accède par un escalier fait de demi-quart à droite et à gauche. Enfin les «avens» de toutes tailles, porte d’entrée de baumes ou non dont un énorme où ont poussé à l’intérieur deux arbres. Le cerisier malgré sa taille n’affleure pas encore les bords, difficile de voir le fonds si on a le vertige, on voit des traces d’écoulement de l’eau vers le fond. Nous n’aurons pas le temps aujourd’hui d’aller voir l’autre, aussi grand où les moutons peuvent accéder au fond.Le soleil a bien voulu être de la partie l’après-midi. Rendons hommage aussi à la fille de J.P. portant devant son nouveau-né et derrière son sac à dos. Comme disent les jeunes : « Respect ! ».
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Pivoines et randonue plateau de Caussols
- Par Jean-Paul Guido
- Le 04/05/2014
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Randonue Pivoines et Plateau de Caussols.Pour une première randonue, quoi de plus naturel et naturiste de découvrir et redécouvrir les richesses de la nature dont les pivoines, iris sauvages, orquis et orchidées font partie. Du bord de la route, on nous annonce voir une pivoine en contrefort, et déjà on cherche des yeux. Puis à peine l’ascension entamée, les pivoines sautent aux yeux de tous côtés, ces fleurs grenat au cœur d’or mais aussi les orquis et pour les iris plus haut. Même si un rappel s’impose, on ne les touche que du regard et on les immortalise en photos. Ouvertes ou encore en boutons, on laisse les pivoines et autres fleurs tel quel pour que d’autres profitent de ce spectacle et qu’il perdure. Une journée très sympathique qui s’annonçait avec cette première partie de la randonnue de ce début de mai.
Rien ne manquait non plus au charme du paysage sur le plateau de Caussols avec une borie, des entrées d’avens répertoriés, des bergeries en pierre sèches ou enclos et un chemin façonné par les hommes , fait d’un pavage qui a résisté à l’usure du temps. La marque de l’homme donc l’histoire et la vue sur le Cap d’Antibes, la baie de Cannes mais aussi le lac de St-Cassien.
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Randonue à Bagnols en Forêt
- Par Jean-Paul Guido
- Le 30/04/2014
- Dans Randonue
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Jean-Paul m’a demandé de rédiger un petit mot sur mes impressions lors de cette première randonue ce samedi 19 avril 2014, près de Bagnols-en-forêt, à la recherche de meulières, entre autres.
En premier, je retiens l’ACCUEIL.
- Celui de Jean-Paul, bien sûr, c’est lui qui m’a convaincue, lors d’une rencontre imprévue sur la plage naturiste de Saint-Aygulf, 15 jours auparavant, de me joindre au groupe,
- Et celui de chacune et chacun des participants !
Oui, Accueil simple et chaleureux.
La simplicité et le naturel… (LOL)… ont fait que la tenue d’Eve était normale ! C’est tout.
Ainsi, plaisir, oui, d’évoluer nue dans la nature en compagnie…sauf quand le froid a commencé à saisir mains et bras, car le soleil n’était pas toujours gagnant ce jour-là ! Heureusement que les pieds étaient au chaud !
-des gants empêchent le froid de monter par les mains, me précise alors Jean-Paul-
Au moment du repas, aussi, simplicité et bienveillance, avec partage bienvenu de la boisson de Bacchus et du café ! Car, la bruine était là et j’ai alors remis toutes mes épaisseurs : besoin fort de récupérer de la chaleur !!!
Encore une qualité de ce groupe : la tolérance !
Chacun s’habille quand il en ressent le besoin, pas de commentaires, de justifications ! Liberté chérie !
Sur la fin, le soleil est vraiment sorti ! Retour à l’état simple. Curieusement, c’est là où j’ai mis le plus de temps à perdre la sensation des vêtements sur la peau !
Ah ! Encore un bon point : quand nous rencontrons des promeneurs, chacun se pare et Jean-Paul va au-devant d’eux expliquer notre présence ainsi. C’est encore de l’accueil, tourné alors vers l’autre.
En conclusion, un grand merci à Jean-Paul qui a osé créer ce groupe au sein de la Fédération Française de Randonnée et à tous ses membres qui le font vivre, dans une grande ouverture d’esprit !
Et je vous rejoindrai dès que cela sera possible pour moi.
Marie-jeanne.
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Randonue vers Aucelon, Col de Pennes
- Par Jean-Paul Guido
- Le 27/04/2014
- Dans Randonue
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Samedi 26 avril. Randonue au Colo de Pennes.
Francis en pleine action ! Ca permet de se chauffer pour se mettre nu plus vite !
Petit aperçu de la falaise de la Pâle.
Couleuvre vipérine rencontrée sur le plateau ! Serpent inoffensif !
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Randonue et randonnée à Nyons
- Par Jean-Paul Guido
- Le 27/04/2014
- Dans Randonue
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Vendredi 25 avril, avec le groupe de randonneurs de Janick (voir CR précèdent) nous décidons d’aller randonner sur la montagne Dessaillon au Sud-Est de Nyons. Nous ne sommes plus que sept, six randonneurs textiles et moi-même naturiste.
Après un grand nettoyage du gite et le rangement des valises dans les voitures, nous voici à Nyons vers 10h30. Nous avions prévu de partir de Rieux par le GR9, mais un petit problème de lecture de carte nous fait prendre la route de Pied de Garde Grosse qui nous mène au point de vue qui domine Nyons. Il y a une table paysagère qui permet de connaitre les différents quartiers et le pont Romain de la ville.
Le sentier part plein Nord dans un léger sous-bois qui permet d’entrevoir la ville sous différents angles. Il ne fait pas très froid et très vite je me mets en tenue de peau. Pendant plus de deux kilomètre le sentier est presque à plat, il me fait penser à un ancien canal. Arrivés à un cairn énorme nous prenons la crête qui repart presque plein Sud.
Jean qui d’habitude est devant tout le monde a du mal à monter, il se plaint de mal au ventre, aurait-il mangé quelque chose qui lui a fait du mal ?
La crête est vertigineuse sur le versant Est et nous permet de voir le village d’Aubres puis celui de Châteauneuf-de-Bordette.
Un vautour nous offre un moment inoubliable par la majestuosité de son vol au-dessus de nous.
Nous prenons notre repas sur un point haut de la crête tout près du sentier. Un couple avec un chien arrive juste derrière et nous salut, je n’ai pas le temps de me rhabiller mais je suis assis à côté de mon sac à dos qui me cache un peu.
Jean est de plus en plus blanc et ne pourra rien avaler.
Arrivé au col de la Croix, Jean descend par la piste pour aller se reposer dans sa voiture. Nous nous continuons le sentier qui coupe les virages de la route. A chaque passage sur la route je passe mon paréo, sauf au dernier virage ou là surgi de la route un jeune coureur à pied.
Arrivés au sommet de Garde Grosse (944m) la pluie commence à tomber très légèrement. Nous nous attardons pas et entamons la descente. La pluie n’étant pas très forte je reste nu, jusqu’au moment où elle redouble, à peine ai-je mis mon poncho qu’elle s’arrête de tomber. Je le retire pour seulement deux minutes quand la grêle fait son apparition pour quelques minutes. Dans la précipitation de rentrer sans ce faire mouiller de nouveau nous avons failli prendre le mauvais chemin qui nous aurait emmenées plus bas que les voitures.
Je peux rester nu jusqu’à la route. Je suis resté nu 7 heures en compagnie de randonneurs textiles.
JP Guido.
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Randonue et randonnée à Rémuzat
- Par Jean-Paul Guido
- Le 27/04/2014
- Dans Randonue
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Jeudi 24 avril, J’ai rendez-vous avec les Marcheurs Nus du Val de Roanne pour une rando mixte avec le groupe de randonneurs textile de Janick. Comme je viens de loin j’ai préféré partir la veille et rejoindre les randonneurs au gite de la Chèvre Verte au Viarrands sur la commune de Montferrand-la-Fare. J’arrive au gite vers 19h30 et je retrouve le groupe de Jannick que je ne connais absolument pas. Je suis accueilli chaleureusement et je n’ai qu’à passer les pieds sous la table pour le diner. La conversation s’engage très vite sur notre façon de randonner et se terminera au-delà de 22h.
Réveil vers 7h pour nous rendre à Rémuzat départ de la rando. Nous sommes quinze au total, huit randonneurs du groupe de Janick et sept randonneurs naturistes.
La rando commence très fort emmené d’un pas décisif par Janick. Une partie du groupe, largué par ce train d’enfer ne verra pas le sentier sur la gauche après un virage de la piste. Heureusement qu’il y a les téléphones portables et que la piste s’arrêtait sur un champ.
Après ce petit incident nous voilà reparti en formant deux groupes de niveau différents.
Le sentier par endroit est très raide et rendu très glissant à cause d’une source qui coule tout du long.
Petit moment de répit sur le sentier d’Emile. Au col d’Enclus certain n’ont déjà plus la force de continuer en voyant ce qui nous reste à faire. Le groupe plus lent prend le sentier d’Emile pour retourner sur Rémuzat.
Le sentier zigzag sous la barre des Aiguilles et traverse plusieurs fois un pierrier où il n’est pas très bien marqué. Arrivé à un petit col, il reste le plus dur, monter dans cette barre d’une cinquantaine de mètres à l’aide de câbles installés pour faciliter l’escalade. Rien de bien difficile quand on n’a pas le vertige…
Nous voici au sommet ! Quelle vue magnifique !
C’est là que nous prenons notre repas entouré des vêtements des textiles qui sèchent au soleil. Les randonneurs naturistes n’ont pas besoin de faire sécher leurs vêtements vu qu’ils les ont quittés dès qu’il a commencé à faire chaud.
Nous voici repartis le long de la crête. Première rencontre, deux vététistes un peu surpris de voir des marcheurs nus. J’engage la conversation pour savoir d’où ils viennent et où ils vont, et n’ont pas connaissance de la présence de câble pour descendre au col. Une autre rencontre avec un groupe d’une vingtaine de randonneurs, léger rhabillage et discussion avec un monsieur qui est aussi baliseur de GR. Très bon comportement vis-à-vis de notre façon de randonner nus.
La première partie du retour est sur un sentier assez raide et très pierreux, attention de ne pas glisser !
La seconde partie est la plus longue, c’est une piste jusqu’à Rémuzat. Nous faisons un petit arrêt pour refroidir les pieds avant de l’attaquer.
Arrivé à Rémuzat nous nous attardons autour d’une bonne bière bien méritée.
Nous avons passés une journée magnifique entre randonneurs est randonneurs naturistes dans une ambiance conviviale.
JP Guido.
Consultez les comptes-rendus de Bernard et Jacques-Marie.
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Randonnée Joëlette
- Par Jean-Paul Guido
- Le 27/04/2014
- Dans Animation, autre
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Mercredi 23 avril, nous avons rendez-vous à Roquebrune sur Argens pour une randonnée avec des Joëlettes. Nous sommes environs 25 pour cette randonnée.Magnifique journée pour faire découvrir la randonnée aux personnes à mobilité réduite. Nous leurs apportons notre aide mais eux nous apportent encore plus dans leur joie de vivre.
Montage des Joëlettes
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Marche Nordique Nue Bis
- Par Jean-Paul Guido
- Le 15/04/2014
- Dans Randonue
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Randonnée marche nordique à La Ferrières Valderoure Alpes Maritimes
Malgré une météo incertaine l'après midi, je décide de m'inscrire. Je fais le trajet en covoiturage, c'est plus agréable. On arrive pour 9h30 sur place. Un hameau charmant, une vue sur une grande plaine verdoyante et les odeurs printanières de la campagne nous accueillent. Le moniteur est sur le parking avec les bâtons. Il est très jovial, fait la distribution des bâtons selon la taille de chacun et nous voilà en route par un sentier pentu vers un petit plateau herbeux pour l'échauffement et les explications techniques. Hépatique.On y apprend que les bâtons de la marche nordique, ont un système différent des bâtons de ski. Pas de dragonnes, mais un demi gant gauche et un droit qui peuvent se désolidariser du bâton au besoin par une simple pression. C'est très pratique et la prise en main du bâton est excellente. Nous sommes nus 5 mn après le départ du parking et le resterons toute la journée.
J'apprécie les 15 mn d'échauffement nu et sans sac à dos. Il y a des étirements très bons pour mes reins !
Je suis le seul à avoir quelques difficultés de synchronisation au ralenti entre la poussée du bras et le pied associé. Tout rentrera dans l'ordre immédiatement lorsque l'on pratiquera la marche rapidement.
Polygala.
Ensuite on part pratiquer pendant 25 mn sur une piste sans le sac à dos, les muscles des bras et des jambes travaillent. Il fait un grand soleil depuis le matin, c'est bon de sentir l'air courir sur sa peau. Une pause rapide pour faire le point, et de nouveaux exercices avec le moniteur. Puis on repart vers notre plateau herbeux pour y retrouver une deuxième partie du groupe avec femmes et enfants. Nouvelle séance de décontraction avant un picnic bien mérité. L'après midi sera consacré à une marche libre avec tout le groupe (Le bébé dans un harnais). Nous arriverons sur la commune de Saint Auban. Un névé sera l'occasion d'une bataille de boules de neige et d'un bain glacé. Puis on redescendra vers la Ferrière.
Sur le parcourt notre botaniste nous montre une hépatique à trois lobes, à fleurs violettes. Les feuilles ont trois lobes (Le foie possède aussi des lobes, au nombre de quatre).
Nous verrons aussi une espèce rare, un polygala petit buis qui rampe en plaques sur le sol.
De retour au parking, nous prendrons le traditionnel pot de la séparation.Georges.
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Marche Nordique Nue
- Par Jean-Paul Guido
- Le 13/04/2014
- Dans Randonue
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Le samedi 12 avril a été l'occasion de s'initier à la marche nordique, ce fût une première pour la majeure partie du groupe. Et c'est à la Ferrière, lieu-dit situé non loin de Valderoure, près de Caille, que nous nous retrouvons.Une fois sur le sentier (balise 184) et hors de vue des dernières habitations, nous retirons rapidement le superflu afin d'être à l'aise. Sur une petite aire bien dégagée, tous placés sur un cercle imaginaire, nous écoutons notre instructeur.Ce dernier commence par une phase échauffement musculaire des membres supérieurs (bras et épaules) puis des membres inférieurs (cuisses et mollets), suivis de quelques étirements. Vient ensuite le moment où il nous explique les deux phases à connaître en marche nordique, à savoir la synchronisation bras-jambes (réflexe évident pour un homo sapiens, mais qui demande une petite adaptation avec des bâtons) et le poussé du bâton en arrière (à ne pas confondre avec le célèbre planté du bâton de M. Dusse !).Comme pour beaucoup de gestes non naturels, il faut savoir décomposer le mouvement, de s'en imprégner, avant de le mettre en application sur le terrain.Cela consiste à ne pas amener son bâton trop en avant, comme l'élan du bras pourrait nous y inviter, la pointe ne dépassant pas la hanche. Une fois le bâton planté au sol, il faut le pousser en arrière à l'aide du bras pour accompagner la jambe opposée.Le tout, sans perturber l'alternance symétrique du mouvement naturel de la marche. Quant au rôle de la dragonne, elle sert à conserver le bâton à portée de la paume de la main, pour pouvoir le ressaisir rapidement avant la foulée suivante. Cela donne un peu l'impression d'avoir quatre jambes en fait ! Le petit cookie, seul toutou présent, a dû bien rire en voyant nous autres bipèdes, en train de nous efforcer à procéder de la sorte. Quelques problèmes d'ajustements lors de l'aller nous obligent à corriger nos mouvements. En revanche, sur le retour, nous nous sommes surpris à mieux comprendre cette cinématique et elle nous semblait acquise.Après avoir effectué notre initiation, nous repartons au point de départ afin de retrouver le reste du groupe, resté sur place pour garder les enfants. Tous ensemble, nous partons à la recherche d'un endroit paisible pour le déjeuner. Celui-ci terminé, nous continuons la randonnue en direction du col Saint-Pierre. Peu après, nous trouvons une petite plaque de neige, ce fût alors l'occasion pour quelques-uns d'entre nous d'y poser nos postérieurs : cela a été une expérience plutôt originale, mais volontairement assez brève !Les enfants se sont amusés avec une bataille de boule de neige.Hormis quelques petits nuages peu intimidants, qui nous ont d'ailleurs peut-être épargné d'être "flashés" (pour le plus grand soulagement de notre épiderme), le temps a été de notre côté, ce qui était fort appréciable.Encore une bien belle journée passée, sans vêtement, dans la nature. Nous l'avons terminé devant un chocolat chaud au village médiéval de Gréolières.Peter.Fichier contenant la trace GPX : marche.nordique.12-04-14.rar (6.66 Ko) -
Balisage nu entre Roquesteron et Sigale
- Par Jean-Paul Guido
- Le 13/04/2014
- Dans Balisage nu
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Randonnée de Roquestéron à Sigale du 10 Avril 2014
Ce jour, une randonnée est prévue au départ de Roquesteron, village situé au cœur de la vallée de l’Estéron à 350 m d’altitude (43° 52′ 29″ Nord 7° 00′ 19″ Est)
Cette rivière coulant d’Ouest en Est, est chauffée par les rayons du soleil tout au long de la journée, ce qui en fait la rivière la plus chaude du département des Alpes Maritimes.
L’objectif de cette randonnée est de rejoindre le village de Sigale situé à 327 m d’Altitude (43° 52′ 24″ Nord 6° 57′ 55″ Est) par le GR51 , et par la même occasion pour Jean-Paul de vérifier l’état du balisage du sentier.
Le 1er point de RDV se situe à Coursegoules où je retrouve mon frère Jean-Paul et Peter ; de là nous partons en direction de Roquesteron en passant par Bouyon, Consegudes.
Jean-Paul nous dépose Peter et moi-même à Roquesteron, le temps qu’il aille récupérer le quatrième compère Pierre à Sigale .
Nous voici donc tous les 4 réunis pour le départ aux alentours de 11 h, outils en mains, sécateurs pour débroussailler si besoin est, et peinture rouge et blanche pour le rafraichissement de certaines balises. Le départ se fait en douceur en monté par un chemin goudronné en bas du village et qui devient sentier de terre après environ ¼ d’h de marche.
Une petite rivière vient nous saluer sur notre gauche, les pierres calcaires jaune et blanches lui donne une clarté dorée peu commune...
Nous commençons notre petite ascension, l’endroit est ravissant , c’est un petit sentier sous-bois, peu fréquenté et nos amis décidèrent donc de revêtir enfin leur tenue de peau.
Nous rafraichissons la plupart des balises avec le plus grand soin, afin que les randonneurs puissent les repérer facilement et nous ôtons du sentier les grosses pierres déplacées par nos amis sangliers …Nous sentons un petit vent agréable et chaud qui nous rappelle que l’été arrive à petit pas, et nous sommes heureux d’être là au sein de cette nature si accueillante et apaisante. Bientôt nous apercevons sur le versant en face de nous le village de Sigale que nous devons atteindre.
Mais sur notre chemin nous croisons un immense tronc d’arbre qui barre à moitié le sentier. Nos amis Jean-Paul, Pierre et Peter furent l’espace de quelques minutes les premiers bucherons en tenue de peau que j’ai eu l’occasion de croiser.
Ils ont essayé en vain de débloquer ce tronc, mais il était bien décidé à rester là où il était.
Ils ont donc scié les branches qui étaient susceptibles d’être dangereuses pour les futurs randonneurs.
Après cette petite pause, nous commençâmes la descente vers le jardin de notre ami Pierre au bord de l’Esteron afin de nous restaurer d’un bon pique-nique.
Le paysage était magnifique, des rivières qui semblaient sortir de pays enchantés et des prairies verdoyantes n’ayant rien à envier à nos amis Anglais.
Enfin arrives dans le jardin de Pierre , nous nous nous installâmes sur les rives de l’Esteron pour une collation bien méritée et fort agréable, avec le bruit de la rivière comme mélodie de fond.
Mais notre aventure n’était pas encore terminée, nous devions à présent crapahuter jusqu’au village de Sigale tout là-haut, et ce ne fut pas la portion la plus facile à cette heure de la journée où le soleil devint très chaud, et qui plus est à une heure ou la sieste est plutôt de mise.
Nous sortîmes donc casquettes et chapeaux afin de nous protéger de cette chaleur d’été surprenante. La montée fut très rude je l’avoue, fort heureusement le spectacle était tout aussi splendide et nous avons eu le plaisir de croiser 2 ânes qui sont gentiment venus poser pour la photo.
Vers 15h30 nous aperçûmes enfin le village de Sigale, nos amis décidèrent donc de revêtir leur paréos à l’approche de la civilisation.
Nous étions heureux d’être enfin arrivés et d’avoir pu profiter pleinement de cette magnifique et chaude journée.
M.GUIDO
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Nettoyage de la plage des Esclamandes
- Par Jean-Paul Guido
- Le 07/04/2014
- Dans Animation, autre
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Journée magnifique pour le nettoyage de la plage des Esclamandes à st Aygulf.
Cette année nous avons eu la présence de 6 jeunes qui nous ont donné un important coup de main !
Sans eux nous n’aurions pas eu assez de sac poubelle, la fondation nous en a donné seulement 5 !
Chers(es) amis(es) naturistes,
Plein succès, plein soleil pour nos 60 naturistes armés de leur sac et gants pour traquer les déchets minéraux accumulés pendant l'hiver sur notre plage naturiste de St Aygulf auto-étendue pour l'occasion sur un kilomètre, de l'Argens au Mas d'Estel ! Résultat ; 60 sacs remplis à ras bord en la matinée .
Cette opération menée sur les Initiatives océanes de la Fondation Surfrider est très suivie chaque année par les naturistes soucieux d'évoluer dans un environnement maritime dépourvu des déchets et résidus de notre consommation effrénée ...
Après un apéro salvateur offert par l'organisation F.F.N et Randonneurs Nus de Provence et le pique nique apporté par toutes et tous, une petite bronzette était la bienvenue !
Grand merci à tous nos participants, dont bon nombre s'étaient déplacés des Alpes Maritimes pour cette journée citoyenne .
Félicitations à Graziella, Christophe, Dominique,Isa,Frédérique et tous les autres cuisiniers(es) pour les quiches et les gâteaux succulents préparés amoureusement pour réussir ce repas convivial !
A bientôt de se retrouver dans notre tenue de peau favorite !Roger Banchereau.
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Randonue à la recherche des Cistes
- Par Jean-Paul Guido
- Le 19/03/2014
- Dans Randonue
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Dimanche 16 mars nous avons rendez-vous au parking de St Barnabé pour une journée avec les enfants âgés de 3 semaines à 77 ans. Nous sommes vingt dont cinq enfants.
J’ai découvert sur internet un jeu de piste gratuit « sur la piste des cistes » qui est idéal pour donner un but aux enfants et les faire sortir en pleine nature.
J’ai trouvé que cette activité pouvait très bien convenir à notre groupe de randonneurs naturistes.
Personnellement j’avais déjà découvert une série de Cistes cachées par Lafouinett intitulée : « Cache-cache dans les pierres » située entre Tourettes-sur-loup et St Barnabé.
En partant de St Barnabé la distance était plus longue mais sur un terrain mieux adapté pour les enfants.
La première partie du parcours est sur le GR51 sur 1.5 km puis nous prenons la direction de Tourettes par un sentier « PR » moins fréquenté ce qui nous permet pour la plupart de nous mettre nus.
J’avais prévu d’arriver à la balise pour midi mais nous n’y sommes pas, il nous reste 500m à faire. L’endroit et très agréable pour pique-niquer juste à côté d’une borie, nous irons chercher les Cistes l’après-midi. Nous nous installons pour un déjeuner convivial où nous avons plaisir à partager du vin, du café et la joie d’être ensemble.
Toute cette série de Cistes est basée sur le report d’azimut sur le terrain. Avant de partir les chercher j’explique aux enfants comment utiliser la boussole. Afficher le cap sur le boitier gradué, tenir la boussole à deux mains et tourner l’ensemble du corps pour amener l’aiguille aimantée dans sa maison, et lever la tête pour voir sur le terrain la direction à prendre. Les enfants ont compris immédiatement.
Nous voilà donc à la balise. Aymeline avec sa boussole trouve de suite l’arbre isolé mentionné dans l’énigme. C’est bien sûr eux qui sont les premiers autour de l’arbre à chercher la cache. Ils sont tout excités et cherchent un peu au hasard. Je leur explique qu’il y a une photo qui peut les aider à trouver. En un instant ils découvrent la cache. On échange un coquillage avec une vache et nous voilà repartis pour la suivante.
Celle-ci est plus difficile à trouver, il faut se diriger vers une « montjoie » au cap 190 et après se diriger vers un arbre au 2ème plan, pas évident pour des enfants. Mais avec un peu d’aide ils arrivent à trouver la borie. Je dois vous avouer que c’est la seule cache que je n’avais pas trouvée et j’en avais averti Lafouinett. Eh bien avec les enfants ça a été un jeu d’enfant ! Nous avons échangé un œuf avec une chouette.
Il y avait quatre autres Cistes à trouver mais nous avons dû rentrer, il commençait à se faire tard.
Cette chasse aux trésors a tellement plu à tous que nous avons programmé une autre sortie pour samedi prochain si le temps le permet.
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Raquett'nue à la montagne de Thiey
- Par Jean-Paul Guido
- Le 10/03/2014
- Dans Raquett'nue
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Nous sommes 5 pour cette raquett'nue au départ de Canaux.
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Raquett'nue vers l'Audibergue
- Par Jean-Paul Guido
- Le 02/03/2014
- Dans Raquett'nue
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Quelle belle journée pour une raquett’nue vers l’Audibergue. Au départ de la randonue il y avait déjà pas mal de voitures et un groupe de quatre femmes qui était accompagné par une professionnelle nous avons discuté un petit moment pour leur expliquer qui nous étions.
J’avais un peu peur de rencontrer du monde vu que nous étions un dimanche. J’ai préféré ne pas prendre le même chemin que le groupe. Nous avons donc emprunté le PR en direction de l’ouest puis après la clôture nous avons bifurqué à gauche pour rattraper un sentier à la hauteur des Aubières. Là nous avons traversé un endroit aménagé avec un bar et des tables avec un petit panneau marqué GPA … On était seul au monde. Avec mon GPS j’ai essayé de suivre le sentier, à certain endroit on le devinait sous la neige, mais plus haut j’avais de plus en plus de mal à le suivre. La végétation n’étant pas très dense nous sommes arrivés à rejoindre la piste au niveau de la ligne électrique. Nous sommes allés jusque au bord de la falaise pour admirer le paysage magnifique. Nous avons trouvé une petite doline abrité du vent ou nous avons pu manger sans avoir froid. Au retour nous avons repris le même chemin, nous avons rencontré un couple un peu avant d’arriver au voiture, j’ai pu passer un paréo pour les croiser.
Heureusement que nous avons bien profité de cette journée aujourd’hui lundi, il reneige à nouveau !
JP Guido.
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